Sujet :
Tu as fais la connaissance d’un garçon de ton âge qui joue rarement avec les enfants de son quartier. Puis tu découvres qu’il est obligé de travailler pendant de longues heures dans une fabrique.
Raconte l’histoire de ses peines en y insérant le dialogue qui s’est déroulé entre vous deux.
PRODUCTION
C’était le premier jour des vacances, vers dix heures, je jouais avec des amis du quartier voisin, entre copains, l’ambiance était agréable ; nous inventions des jeux fous, quand je remarquai un garçon de mon âge qui se ****************************ait de nous observer. Tout de suite, je me dirigeai vers lui et je lui dis poliment : « Viens jouer avec nous. »
« Non, merci, je ne peux pas, me répondit-il en quittant le lieu, mon patron m’a envoyé chercher des sandwiches pour les ouvriers de la fabrique. »
Stupéfait, je rejoignais mes copains qui connaissaient bien le pauvre garçon ; il était obligé de travailler dans la fabrique de la ville en parallèle à ses études, après la mort subite de son père. Le lendemain je le croisai sur le chemin de l’usine : « Bonjour, on s’est vu hier dans ton quartier, tu te rappelles de moi ? »
-« Oui, je me rappelle très bien de toi, murmure-t-il, tu m’as invité à jouer en plus et je m’excuse d’avoir refusé ton invitation, j’étais obligé de le faire . »
-« Pas la peine de t’excuser, ils m’ont dit que tu travaillais. »
-« Oui, je bossais à plein temps. », ajoute-t-il avec une voix monotone et fatiguée.
Je le tins par la main en essayant d’abaisser sa peine : « Ne t’en fais pas, ça ira très bien. »
-« Je l’espère, mais c’est dur à supporter. »
Je compris, alors, qu’on l’obligeait à effectuer des tâches dangereuses ; il reliait des câbles, il coupait des courroies sans la moindre protection. Malgré tous ces risques et toutes ces corvées, sa paie hebdomadaire était dérisoire et son patron le maltraitait.
Le malheur c’est qu’il était conscient de la tragédie de sa condition physique, morale et familiale. Heureusement, il était brillant dans ses études et envisageait de dépasser un jour ses peines
Tu as fais la connaissance d’un garçon de ton âge qui joue rarement avec les enfants de son quartier. Puis tu découvres qu’il est obligé de travailler pendant de longues heures dans une fabrique.
Raconte l’histoire de ses peines en y insérant le dialogue qui s’est déroulé entre vous deux.
PRODUCTION
C’était le premier jour des vacances, vers dix heures, je jouais avec des amis du quartier voisin, entre copains, l’ambiance était agréable ; nous inventions des jeux fous, quand je remarquai un garçon de mon âge qui se ****************************ait de nous observer. Tout de suite, je me dirigeai vers lui et je lui dis poliment : « Viens jouer avec nous. »
« Non, merci, je ne peux pas, me répondit-il en quittant le lieu, mon patron m’a envoyé chercher des sandwiches pour les ouvriers de la fabrique. »
Stupéfait, je rejoignais mes copains qui connaissaient bien le pauvre garçon ; il était obligé de travailler dans la fabrique de la ville en parallèle à ses études, après la mort subite de son père. Le lendemain je le croisai sur le chemin de l’usine : « Bonjour, on s’est vu hier dans ton quartier, tu te rappelles de moi ? »
-« Oui, je me rappelle très bien de toi, murmure-t-il, tu m’as invité à jouer en plus et je m’excuse d’avoir refusé ton invitation, j’étais obligé de le faire . »
-« Pas la peine de t’excuser, ils m’ont dit que tu travaillais. »
-« Oui, je bossais à plein temps. », ajoute-t-il avec une voix monotone et fatiguée.
Je le tins par la main en essayant d’abaisser sa peine : « Ne t’en fais pas, ça ira très bien. »
-« Je l’espère, mais c’est dur à supporter. »
Je compris, alors, qu’on l’obligeait à effectuer des tâches dangereuses ; il reliait des câbles, il coupait des courroies sans la moindre protection. Malgré tous ces risques et toutes ces corvées, sa paie hebdomadaire était dérisoire et son patron le maltraitait.
Le malheur c’est qu’il était conscient de la tragédie de sa condition physique, morale et familiale. Heureusement, il était brillant dans ses études et envisageait de dépasser un jour ses peines